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Créé le : 29/03/2008 18:27
Modifié : 22/04/2008 12:07

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Changement

22/04/2008 12:07



Excuse-me !  Je fais un transposage
http://natsuzu.vip-blog.com

Oui, c'est un abandon de se blog, et alors XD ?!  Roh c'est bon...
j'en ai fais un autre, me frappe pas !
  À plus sur mon nouveau domène,
qui, si je puis dire, est mieux, beaucoup mieux, enfin... vous verrez !!







[Wakfu-FanFic] L'Ordre des Quatre Saisons.

11/04/2008 18:16

[Wakfu-FanFic] L'Ordre des Quatre Saisons.


Je vous présente une FanFic de la naissance d'une nouvelle classe de Wakfu,
ce jeu étant donc la merveilleuse suite du célèbre Dofus pauvre en graphisme ^^.


        Chapitre I : Prologue ; Les Quatre.

Ils étaient quatre, assis là, sur des caisses vides, dans un des rares coins tranquilles de la grande place du marché. Au près des habituels raisonnements de pas sur le sol pavé, les villageois accourant sur la place pour faire leurs courses. Le plus grand se trouvé être un jeune garçon d'une beauté incroyable. De doux cheveux blonds partants d'un peu tout les côtés, des yeux brillants aussi bleu que le ciel d'Été. Un long T-shirt blanc couvrait la moitié de son bermuda, pieds nus, un pied sur la caisse, l'autre laissé dans le vide, le regard rêveur, il ne disait pas mot. Une fillette bien plus jeune, la tête sur l'épaule gauche du garçon. Les yeux fermés, ses cheveux châtains clairs volants à la légère brise Printanière. Elle rouvrit ses yeux, les dirigeant vers son soleil d'été, le plus grand et le seul garçon présent. Le vert de ses yeux étaient aussi entraînant que profond. Peu habillée, elle était vêtu d'une jupette et d'un haut assez court tout les deux roses pâle comme la si belle fleur qu'elle tenait en main. Une autre se balançait d'avant en arrière devant les deux derniers, de la pointe des pieds jusqu'au talons, le sourire au lèvre, baladant ses yeux marrons sur la place, rousse comme les feuilles d'Automne. Un pull-over à col roulé deux fois trop grand pour elle lui arrivait juste au-dessus des genoux et un short ne se voyant – presque – pas derrière son pull. La dernière et la plus petite se tenait accroupit, appuyée contre une de ces nombreuses caisses, ses bras couvrant ses jambes. Des cheveux blanc couvrant ses yeux noirs, aussi pénétrant que le plus froid des Hiver, mais aussi doux que la chaleur d'un bon feu. Fixant le sol elle ne bougeait pas. Un long manteau noir protégeant sa douce peau blanchâtre et sa petite robe tout aussi blanche. Les pas résonnants de plus en plus, la matinée commençait a être assez avancée pour que la cité entière sois levée. Les stands se faisait de plus en plus nombreux, la place n'était plus qu'un troupeau aux yeux des Quatre.
– Êtes-vous prêtes ? lança le jeune garçon, un sourire entraînant aux lèvres.
– Oui ! répondirent les trois fillettes en choeur, acquiesçant d'un signe de tête.
Le garçon sauta du haut de sa caisse et atterrit sur le sol, debout, il fit volt face et tendu la main aux filles. Celle qui était sur son épaule réagit la première et sauta elle aussi à terre, prenant la main de son frère. La plus petite se leva délicatement et s'engouffra dans ses bras. Le plus couverte, l'Automne, se retourna et avança vers eux, avec un sourire plus que doux et un regard déterminé.


    Chapitre II : Un désarroi de Iop.

Dans les hauts ciels des Douze, le désarroi prenait place plus que jamais. Ogrest ravageant tout sur son passage, des centaine — non, des milliers – de personnes mourraient devant leurs yeux indécis. Les eaux s'élargissants de jours en jours, beaucoup moi d'espace pour la survies de leurs chers disciples. Les guerres déchirants les différentes classes et les disputes – trop – nombreuses. Mais, pour le pire désarroi des Dieux : les servants et servantes manqués. Les dîné ne se faisaient plus d'eux mêmes, finit les gourmets pendant un discussion reposante sur le meilleur des fauteuils sans même bougeait le petit doigt.
– Cela ne fait plus de nous des Dieux dignes de ce noms ! s'écriait sans arrêt le seigneur Iop. Combien nous en reste-t-il maintenant, trois et même pas quatre ? ripostait-il a la réunion des Douze.
– Un... il nous en reste — malheureusement — plus qu'un. Rectifia Féca. Mais les problèmes d'Ankama sont plus ... Il ne put finir.
– Un seul ?! Ils nous faut en trouver bien plus ! Qu'on appelle cet "unique". Coupa Iop, avant que le sage Féca l'étouffe avec son discours d'économie.
Un court temps plus tard, un jeune homme, assez chétif, bruns aux yeux verts, habillé d'un léger pull rouge foncé à col roulé, et d'un jean. Un Eni assez simple à première vu, mais pourtant, voyant son regard, on imaginerait le contraire.
– M'appeliez-vous, monseigneur ?
– Ah, notre "unique" ! Venez donc. J'aurais deux, trois, petites faveurs à vous demandez. Se réjoui Iop.
– Je suis tout ouïe.
– Je veux que vous descendiez pour...
– Descendre ?! Comment ça ?! Coupa-t-il.
– Laissez-moi finir non d'un bouftou malfamé !
– Euh.. oui, excusez-moi.
– Donc, je disais, je veux que vous descendiez sur les terres d'Ankama, et que vous reveniez avec d'autre personnes dans votre genre savants faire les principales ménagères, vous êtes malheureusement notre dernière recru lorsqu'on parle de cela.
– Comment ça ? Vous me demandez d'emmener ici d'autres personnes qui seront enfermés comme nous – pardon... moi – et qui finiront par mourir dans cet endroit en vous servant ? Comment voulez-vous que je trouve des personnes qui voudront ?!
– Je n'ai pas mentionné le fait qu'il devait vouloir, ricana-t-il.
– Mais... c'est horrible !
– Taisez-vous ! Et faite-donc ! Dite « Je le veux, je le peux, je le dois : revenir » lorsque vous voudrez rentrer, si vos mains sont vides, vous serrez mort.
Iop d'un claquement de doigt le fit disparaître. Il devait sûrement déjà se trouvé en Ankama, une terre lui étant pratiquement inconnu, ayant était élevé ici, enfermé pendant toute la durée de sa misérable vie.


        Chapitre III : Une terre étrangère.

L'Eniripsa se retrouva étalé par terre, devant de grandes portes entourées de murailles. Une vue, la première de ce monde, assez incroyable. Derrière lui, une forêt lumineuse se joignée aux portes d'un large sentier, de quoi y laissé passé de nombreuses caravanes marchandes. Un Ecaflip étrangement souriant apparu brusquement à la lisière de la forêt.
– Hé bien petit ! Que fait tu là, contre le sol ? Il ne t'as rien fait j'espère, rigola-t-il.
– Euh... je... je suis désolé.
Le servant se leva d'un bond et couru à toute vitesse, apeuré de cette apparition soudaine. Les portes s'ouvrirent à son passage. Des centaines personnes se trouvaient au bout de cette rue, sur une grande place. Il perdu l'esprit. Il beugla de toute ses forces :
– Où suis-je ?! Qu'es-ce que... Aidez-moi !
Dans la précipitation il bouscula un nombre indéfinis de personnes, sa vue troublée. Puis tomba raide, évanouit, au pied de quatre enfants, étonnés.
– Croyez-vous qu'il va s'en remettre maître Eniripsa ? Demanda le plus grande des Quatre.
– Je ne sais pas. Il a fait un malaise bien étrange. Comme si il n'avait jamais vu ce monde.
– Es-ce grave ? reprit la rouquine.
– Nous verrons lorsqu'il se sera réveillé.
Tout était flou dans sa tête, leurs voix étaient presque éteintes de son ouïe. Il ne comprenait pas grand chose. « Mais où suis-je ? Que se passe-t-il ? J'était au-près des Douze il n'y a seulement quelques secondes. ». Il se rappela peu de temps après : « Ma quête ! C'est donc pour cela que je suis ici ! Es-ce vraiment Ankama ? Suis-je mort ? Non... c'est impossible. Il faut que je trouve quelqu'un pour qu'il soit enfermés là-haut... Mais c'est si horrible. Comment vais-je m'y prendre ? Et qui ? ». Il ouvrit brusquement les yeux, cinq personnes penchant leurs têtes vers lui l'entourait, il se leva en un bond, recula le plus vite qu'il le pouvait et s'écria nerveusement :
– Qui êtes-vous ?! Où est-on ?! Qu'es-ce que je fait ici ?!
– Calmez-vous, calmez-vous ! Vous êtes en sécurité ! s'empressa le maître Eniripsa.
Étrangement, le serviteur se calma. Il essayait douloureusement de contrôler sa respiration haletante. Il observa les cinq ici présent. Un vieux Eniripsa, un jeune homme blond aux yeux bleu, une fillette tenant ce dernier par le bras, lui faisant signe de s'en aller, une autre fille, une petite rouquine bien couverte, et... Et une étrange petite aux cheveux blanc et à la peau pâle, restant muette devant cette scène, presque désintéressée.
– J'ai un mauvais pressentiment Grand-Frère... nous devrions partir.
Chuchota le plus âgée des trois filles, tirant le bras du garçon. Étant long à la détente, le souffre-douleur de Iop remarqua que les quatre enfants ne collé à aucunes des Douze classe.
– Pardonnez-moi... engagea-t-il, moins essoufflé, C'est peut-être assez indiscret mais... De quelle classe êtes-vous, vous quatre ?
Demanda-t-il, les pointants du doigts. L'étonné entendu un dernier chuchotement de la fillette, il essaya de décrypté : « Tu vois ! Je te l'avais dis, on est mal ! ». Celle qui avait prononcé ces dernières paroles s'avança vers lui – les trois autres se mordant les lèvres – lui caressant la joue, elle ajouta :
– Tu devrais dormir, tu as l'air si mal en point...
– Non ! s'écria-t-il hors de lui, qui êtes-vous ?!
Le maître soigneur, s'assit, songeant à cela, tout aussi étonné, il réfléchissait apparemment avec beaucoup d'entrain. Finalement, il prit la parole.
– Elle a raison, endors-toi, je te garderais ici jusqu'à que tu ailles mieux.
Dit-il faisant signe – derrière le dos du malade – aux Quatre de partir. « Il sait... » pensa la plus petite et la plus renfermée des filles.
– Alors partons ! s'enjoua la rouquine, toujours son sourire paisible aux lèvres, presque incrédible tellement elle l'affiche patiemment.
Le jeune homme pris la porte le premier, les autres le suivant à la trace. L'Eniripsa rit de plus belle, ils étaient admirables à ses yeux, se montrés ainsi, quel courage. Le jeune serviteur des cieux ne voulant pas se rendormir, tellement intrigués par ces étranges personnes sur cette terre étrange, il se releva une fois de plus d'un bond, cette fois ne laissant pas le temps à qui que ce soit d'intervenir, titubant légèrement, couru jusqu'à la porte. La plus petite le remarqua, il les suivait de si près !
– Dans la forêt ! Cria-t-elle à ses compagnons.
Ils comprirent instantanément, sans même se retournés, qu'ils avaient étaient repérés, la petite ne parlait jamais pour rien, c'était alors une certitude. Courant visiblement plus vite à travers les multitudes de rues, virant de gauche à droite, les Quatre se suivait – même avec leur différence flagrante d'âge – facilement, se dirigeant vers les immenses portes de la ville. Le malade se rapproché de plus en plus, il attrapa brusquement le pan de la robe blanche que portait la plus petite des quatre.


        Chapitre IV : Attrapés, Échapés.

– Je t'ai eue !
Les trois autre firent volt-face, voyant leur soeur se débattre contre le jeune homme qui reprenait ses esprit et était à présent plus vif que l'éclair.
– Lâche-là ! Elle ne t'as rien fait ! hurla l'aîné des Quatre.
– Non, dites-moi juste ce que vous êtes ! Des monstres ?
– Bien sûr que non ! rigola la rouquine, n'importe quoi !
– Qu'êtes-vous alors ? demanda-t-il, s'efforçant de garder son sérieux.
« J'ai trouvé ! Je "les" ai trouvés ! C'est eux qu'il me faut... » pensa-t-il.
– Qui êtes vous ? Qu'êtes-vous ? dit-il, s'approchant de la fille aux couleur d'automne.
– On m'appelle Edo. s'imposa le jeune homme entre le dit prédateur et sa soeur, passant sa main dans ses cheveux blonds comme il le faisait si souvent avec une grâce intense. Elles, ce sont mes soeurs, et je vous déconseille fortement de les touchées en ma présence. Nous sommes de l'Ordre, je vous prie de la lâchée.
Les sourcils froncés, la main sur un bâton visiblement fissuré en son centre qu'il portait dans son dos, le souffre-douleur fit un pas en arrière par réflexe, brusqué par le jeune homme, bien qu'il fut à peu près de la même taille que lui, il possédé bien plus que lui le corps d'un combattant forcené. Lâchant au plus vite la fillette présentant maintenant un danger, il continua incessamment :
– Bien. Edo, toi et tes soeurs qu'êtes vous comme... chose ?
– Je viens de le dire, nous sommes de l'ord...
– Moi c'est Alex ! s'écria la garçonne aux tâches de rousseurs, enjouée.
– Tais-toi Alexandra ! beugla son frère, énervé.
La fillette se vexa. Fit volt-face, courra vers les portes et sortit de la ville, se dirigeant vers la forêt. Sa Grande-Soeur, apeurée partit à sa recherche, suivit de la petite.
– Désolé d'interrompre cela, elle est très susceptible.
L'Apollon poursuivit ses soeurs, les rattrapants aisément. Le servant d'Iop, légèrement choqué par cette brusquerie partit à leur recherche qu'un temps plus tard. Parcourant les rues jusqu'à la porte, la traversant d'un pas et continua sur le chemin de la forêt, essoufflé mais certains qu'ils s'y retrouveraient ces quatre garnements. « Edo... Alexandra... vous êtes à moi ! Je dois vous avoir pour mon cher maître, je le dois ! Je le dois pour ma liberté ! ».


        Chapitre V : Une Vérité.

Ces étranges enfants se trouvés tout-quatre être assis en tailleur, contre un arbre sans feuilles, dans la dense forêt oubliée. Proches les uns des autres afin de se réchauffés dans en se froid hiver. Le garçon Eniripsa, seul et unique serviteur des Douze, était fourré entre les buissons essayant avec réussite de se caché et d'attendre le moment propice pour leur sauté dessus.
– Ce n'est pas très chaleureux, ici, s'engagea Edo, fait quelque chose Phanie !
– Vraiment ? Je peux ? répliqua-t-elle, s'élevant, laissant apparaître la plus grande silhouette des trois soeurs.
– Si je te le dis !
Le jeune homme afficha son plus sourire. Phanie, réjouie à cette idée, s'approcha de l'arbre mort sur lequel ils s'appuyaient, posant la main au centre de ce dernier. Elle s'illumina hâtivement, un souffle d'air chaud traversa l'arbre noir, lui redonnant ses couleurs printanières au fur et à mesure, s'étalant en direction des branches qui étouffaient à présent de grandes feuilles verdoyantes. Ce souffle se répandant jusqu'à l'herbe morte couvrant le sol reprenant sa belle verdure. Créant ainsi un nid douillé singulièrement printanier.
– Voilà ! reprit-elle souriante.
– Merci Phanie...
Les enfants apparaissaient aucunement choqués, contrairement au valet des seigneurs, les yeux écarquillés, plus que choqué, crispé il observait les quatre monstres les plus effrayants existants avec stupeur. « Oui... il me les faut ! Ils seront parfait ! » pensa-t-il, fou de cette vision ; couronné de la main de son maître pour sa trouvaille. Sautant précipitamment hors de sa miteuse cachette, il s'écria, un rictus aux lèvres :
– Vous ! Expliquez-moi ! Qu'es-ce que c'est, sa ?!
La fillette d'Hiver s'empressa de s'approchait de l'arbre et de déchaîner le pouvoir inverse, mais. Edo l'arrêta de la main, la pris par le pan de la robe, tel le souffre-douleur l'avait fait il y a quelques minutes seulement, et la mis en arrière, dégainant son bâton fissuré.
– Mais... Il a vu ! cria la fillette sans nom.
– Oui, j'ai vu, répliqua le concerné avant même que l'un deux ne puisse dire mot, dites moi comment vous faite ! Expliquez-moi tout... je suis avide de savoir !
– Tu ne vas tout de même pas l'éliminer ! s'étonna Alexandra, sans prêter la moindre attention au seul noble qui se tenait parmi eux.
– Que faire d'autre ? demanda le jeune homme, avide d'en finir. Il en sait trop.
– Et qu'es-ce que ça peut faire, qu'il sache ?! Ne recommences pas !
– Touché, commenta Phanie, incertaine.
– D'accord. Je ne recommencerais pas. Mais, que faisons-nous de lui ?
– Si nous lui expliquons, simplement ? s'interposa la petite fillette.
– Pour quoi faire ? Il ne nous sert et nous servira à rien.
– Qui vous dit sa ? reprit le noble serviteur.
– Hé bien... Edo et ses soeurs réfléchir, un temps... longtemps.
– Expliquez moi.
– Vas-y, Grand-Frère... nous n'y perdrons rien à nous dévoilé ainsi, ajouta Alex.
Perplexe, Edo soutenu le regard de ses trois soeurs, leurs regard pénétrant, il disait tout ce regard, elles étaient toute trois d'accord pour dévoiler leur histoire. Il ne pouvait que céder. Il fit donc, soupirant.
– Hé bien... Mes soeurs ; Phanie, Alexandra, Hayate et moi...
– Hayate ? s'étonna étrangement le valet.
– Oui, notre petite soeur à tous, mais ne me couper pas...
– D'accord.
– J'ai dis de ne... s'énerva-t-il à la persistance de son interlocuteur, bon. Je disais, mes soeurs et moi, sommes de l'Ordre des Quatre... des Quatre Saisons. Plus précisément les descendant des Quatre eux-mêmes.
– Comment ? Vous vous moquez de moi ! Vous parlez là du conte que l'on raconte aux plus jeunes enfants en larmes ?
– Exact. "L'Ordre des Quatre Saison".
– Mais c'est insensé ! Ce conte n'est que fabulation !
– N'avez-vous donc pas eu la réelle version ? Qu'elle déformation vous ai venu encore... à vous les disciples des Douze...
– Vous n'être alors vraiment pas d'une des douze classes ?
– Bien sûr que non ! intervint Alex, excitée.
– Tais-toi Alexandra. Laisse moi lui expliquer ce que nous sommes enfin, je ne prendrais guère le temps de conter l'histoire de nos aïeux. D'autant plus qu'en vous rendant à la Capitale, vous trouverez facilement un bouquin de l'histoire officiel !
– Bien. Racontez-donc.
Ils s'assirent tout les cinq sur l'espace verdoyants. Et le jeune homme reprit.
– Descendant des Quatre du légendaire conte de l'Ordre, nous sommes Phanie, Alexandra, Hayate et Edo, tel sont les noms de nos ancêtres. Phanie, le Printemps. Alexandra, l'Automne. Hayate... l'Hiver. Edo, l'Été. Nous avons tout quatre hérités du contrôle de chacune de ces quatre saisons. Comme le dit le conte, les Quatre ont se pouvoir, comme vous avez vu Phanie en usé. Cependant, étant bien moins puissant que nos pères et mères, nous n'avons pas encore acquérit un contrôle égal au leur. Le conte est leur histoire ; notre histoire. Voyez vous-même, la marque des Quatre. Comprenez-vous ?
– Je comprends.
Les étranges gamins montrèrent chacun leur marque : le sceau des Quatre. Souriants, fières, les enfants étaient réjouis à l'idée qu'une personne "normal" puisse les admirés, eux, les "autres". « Ils sont incroyables, parfait pour mon maître... je dois les avoir... mais comment ? Mais oui ! La phrase ... qu'elle est-elle déjà ? ».


        Chapitre VI : « Je le veux. Je le peux. Je le dois : Revenir. »

– Donnez-moi vos mains, hésita le valet.
– Pourquoi ? Qu'es-ce qu'elle ont nos mains ? demanda la garçonne.
– Ne sois pas impolie Alex, et donne lui ta main, répliqua Phanie.
Les enfants s'exécutèrent. Se tenant à présent tout les quatre par la mains « On a pas l'air idiot comme ça... », l'Eniripsa réfléchis un temps, et soupira.
– Êtes-vous prêts ? s'élança-t-il, incertain de ses propres mots.
– Prêts à quoi ?! s'écrièrent-ils en choeur, légèrement apeurés.
– ... « Je le veux ! Je le peux ! Je le dois : Revenir ! »
Un trou noir invisible à l'oeil nue les compressa à en mourir, criant, agonisant, ils se débattirent tout cinq à cette attaque du ciel. Brusquement élancés en hâte dans une grande salle, émettant un sinistre craquement semblant être des os se brisés contre le sol. Bizarrement : aucune casse, étalés sur un sol pavé, le valet le reconnu aussitôt : « Je suis de retour ! Enfin, enfin chez les Douze ! »
– Je vous souhaite la bienvenue, Anmaknéens !
Un Iop, ... "le" Iop, s'avançait vers les cinq enfants écrasé à terre, tel un maître s'avançait vers ses chiens. Iop se retourna hâtivement en direction de son dernier serviteur.
– Que nous as-tu ramené là ?
– Des enfants dignent de vous servir mon maître ! s'enjoua-t-il, posant un genoux à terre.
– Qui sont-ils ?
– Les d...
– Descendants des Quatre de l'Ordre des Saisons, et vous ? coupa Edo, s'imposant devant le tas de muscles venant se présenté à eux.
– Moi ? Qui suis-je ? C'est une blague ! ricana-t-il.
– Maître... je ne leur ai pas dit...
– Je vois... descendants de l'Ordre d'un conte, haha ! Seront-ils plus digne que toi ?
– Mais... maître...
– Tais-toi, simple valet que tu es ! Vous, reprit-il, se retournant vers les nouveaux, je suis Iop, le Dieux Iop, dès à présent vous aurez l'honneur de me servir.
– Qu... quoi ?! Vous servir ?! s'écrièrent-ils.
– Oui, me servir. D'ailleurs, montrez-moi de ce pas ce que vous savez faire.
Les frère et soeurs se regardèrent, étonnés, mais décidés de lui montrer la mort et la vie, le bonheur et le malheur, d'un simple coup de saison. « Nous devons nous montrer puissant, nous le devons... être enfermés ici, jamais. »


        Chapitre VII : Démonstration.

Un vaste terrain s'étaler devant leurs yeux. Épées, bâtons, arcs, marteaux, pelles, baguettes, chopines, nombreux jeux de cartes et autres armes étranges étaient installés au abords de toutes sortes de zone d'entraînement. Ce trouvant à la cime d'une forêt étrangère, les arbres faisaient obstacles et étaient censés endurés les entraînement, les rendants plus intensifs. De multiples pantin de combats et cibles mouvantes s'éparpiller sur l'immense terre.
– Alors, "descendants des Quatre", montrez moi ce que vous savez faire !
– Bien, acquiescèrent-ils, en choeur.
Phanie prit les avants et s'engagea sur le terrain, s'emparant d'un des bâtons d'entraînements du bord de la piste. Hâtivement, au simple bâton elle déchiqueta un, deux... trois cible mouvantes au corps à corps. Continua sa démonstration touchant du doigt deux branches mortes entrelacés leurs redonnants couleurs et forces et envoya ses branches fusant l'air et touchant en plein coeur un des plus reculés des pantins. Iop, impressionné, détourna enfin son attention et la rattacha à au jeune Edo, lui dirigeant, il se le rappel : l'Été. Il illumina un arbre noir et lui redonna vie et feuille verte, le déplaçant à son aise sur le terrain, enfonçant dans le sol quiconque s'imposait à lui. La plus petite ; Hayate, esquiva de peu l'arbre enchanté et le frappa de son propre bâton. L'arbre agonisant du pouvoir de l'hiver : mourut pour la énième fois. Alex apparut dans l'ombre se faisant poursuivre par un arbre revigoré à la façon Phanie, se retourna et dans un choc d'onde l'arbre fana tel un arbre en Automne.
– Woh, woh ! Arrêtez tout ! Vous ne pouvez pas me servir.
– Et pourquoi ? répliqua Edo, un sourire malin aux lèvre.
– ... Sa m'énerve de dire sa mais, ... Vous êtes "trop" puissant pour cela.
– Comment ça ?! s'écria la garçonne qui se précipité vers Iop.
– Cette légende est donc près... permettez-moi... Il faut que j'en parle aux autres.
– Bien sûr qu'elle est vrai ! Prenez votre temps.


        Epilogue I : Demi - Dieux.

Pour en finir, Iop conclu avec les autres Dieux, que l'Ordre devait renaître, afin d'avoir un millième de chance de plus pour vaincre Ogrest. Pour cela, une seule solution s'offrait à eux : Les rendre maître d'eux-même, des Demi-Dieux. Ils firent ainsi, et l'Ordre sortit de leurs ruines, le conte devînt la légende. La légende devînt la réalité. La réalité devînt irréel. Un culte pour l'Ordre se fit, des disciples y prièrent. Edo, Phanie, Alexandra et Hayate : Quatre nouveaux Demi-Dieux, une nouvelle Classe.


        Epilogue II : EdoSa Réalité.

Il fut un temps où le légendaire Ordre des Quatre Saisons n'était qu'oublié, un temps où ses descendants n'en savaient absolument rien, un temps où ils ne s'étaient encore jamais croisés. N'étant seulement que de pauvres enfants martyrisé par leur différence tout aussi bien physiquement que mentalement, les Quatre étaient perdus ... abandonnés.

    Découpure I : Cerné.

Une rue pavé, vide et sinistre, étroitement encerclé de murs. Le clair de lune répercutant sa lumière sur chaque flaque d'eau impure, de miteuses caisses de bois déchiquetées ou même brûlées s'étaler à leurs abords. De violents cris retentirent au loin. Un cri terrorisant, ou plutôt... terrorisé. Un son pratiquement sourd, résonnant comme une détonation. Brusquement un gamin aux piètres habilles, sortant d'une bifurcation fut pris au dépourvu par les embûches, le détrônant de sa hauteur jusqu'à l'abattre sur le sol, le frappant de plein fouet. Il se releva, trébuchant une fois de plus et continua sa course, essoufflé. Jetant régulièrement des regards derrière lui, Edo aperçu deux personnes en noirs, le poursuivant à une allure inimaginable. Les hurlements s'étaient arrêtés, laissant place à leurs bruyantes, haletantes respirations. Une main de fer de referma sèchement sur le bras du blondiné.

– Lâchez-moi ! hurla l'enfant, abattu de cette course acharnée.

Les dit ennemis ricanèrent. Ils lui affligèrent une volée, le contraignant à sombré dans ses rêves, évanoui. Un temps indéfini distança l'attaque et son réveil. Il ouvrit les yeux, papillotants, une forte lumière inondant l'immense pièce de métal où il se trouvé. Des murs sans ouvertures renforcés, sans la moindre trace de nature, seulement du métal. Du métal raisonnant à en faire mal sous le poids des larmes qu'Edo lâcher avec entrain. Edo se releva de sa petite hauteur enfantine, plissant les yeux pour voir l'autre bout de la salle, il avait était jeté au milieu de celle-ci, quelques uns de ses membres le démangeaient douloureusement. Titubant un instant, il reprit conscience « Non... Ce n'est pas possible, pas enfermé ! ».

– Dis-nous, monstre, qu'elle est ta vrai nature ?

Ces paroles résonnèrent bruyamment dans l'enfer qu'était cette cage. Venant de nulle part, déchirant ses tympans, l'étourdissant. « De quoi parle-t-il, qu'elle est cette voix... ».

– Je comprends pas... Expliquez-moi ! gueula-t-il de sa voix d'enfant.
– Ah ah, quel sot ! Nous ne sommes pas bornés ! Nous savons... Oui, nous savons que tu n'es pas des nôtre. Je te repose... pour la dernière fois, la question qui t'es fatale : Qu'elle est ta vrai nature ? résonna la lourde voix assourdissante, un ton plus énervé.
– Je suis désolé ! Hurla Edo, plus fort qu'il ne l'aurait jamais imaginé, Je ne vois absolument pas de quoi vous parlez !
– Nous ne plaisantons pas. Si tu ne réponds pas à la question, nous te bannirons. Je te laisse une unique et dernière chance de vivre, parles gamin !
– Je... je ne sais pas... l'enfant martyrisé de recroquevilla sur lui même, prenant ses genoux dans ses bras, les larmes coulants à flots, le stresse, la peur... la haine, grandissant en lui.
– Bien. Je te dis adieux, alors, dit-il, le ton calme mais pesant. Corrigé-le, qu'il ne puisse plus être maître d'une telle insolence.

    Découpure II : Excès.

Les murs s'ouvrirent en un bruit plus assourdissant encore que les cris du jeune Edo. Des dizaines d'hommes du même uniforme que les deux poursuivants de toutes les classes apparurent dans l'ouverture. Le gamin bascula, d'avant en arrière, dans un signe de détresse, ses larmes tachants ses miteux accoutrements. Les hommes tenant chacun en main une longue coutelas à dents à la garde de bois. Le premier d'entre-eux s'approchait du dépressif et ricana.

– C'est ce gamin que l'on doit éliminé ?! Ha ha ! Hé les gars, j'me l'fait, laissez-le moi !

La troupe à l'unanimité se moqua du garnement aux poings serrés. Sans en ajouté plus, l'assassin joua avec sa coutelas et la dirigea lentement vers le mince cou du dit monstre. La relança vers l'arrière et l'abattit soudainement vers le garçon. Un bruit sourd se fit entendre, suivait d'un cri brûlant de douleur. Les hommes rigolant encore. La scène était une vrai boucherie : l'adulte était à terre, une flaque de sang s'étalait autour de lui, ses yeux vides d'expression. Sa gorge taillée, ses mains noires de charbon. L'enfant debout, tête baissé, munit de la coutelas et de deux yeux bleus flamboyants.

– Quoi ?! Qu'es-ce qui s'est passé ?! s'exclama un des mercenaires de l'avant. Edo tourna son regard vers lui, à en faire peur.
– J'ai "brûlé" le manche de son arme, il lâcha, je la reprit et lui trancha la gorge, murmura-t-il, d'un air sombre.

Les guerriers reculèrent, affichant une étrange expression. S'armèrent et bondir. Edo s'engagea sans un mot ni cri.

Il se dirigea vers une ouverture, passa une jambe, et se retourna, visionnant le massacre bref mais sanglant. L'ancienne salle grise métallisée, vide, s'était métamorphosée : Un rouge écarlate couvrait la plus part des parcelles de métal, des corps déchiqueter s'étalaient sur les murs et sol, des coutelas éparpillées... Une vision d'horreur. Le gamin détourna sèchement le regard, laissant échappé quelques larmes. Il couvrit son visage martyr de ses mains souillées. Et passa de l'autre côté, fuyant cette vision.      







Satanisme - Une vérité ; l'horreur.

06/04/2008 09:39










Besoin de savoir... [+Eva]

05/04/2008 17:28

Besoin de savoir... [+Eva]


En passant, une peu de son vite fait ?

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Huhu, perso, j'adore Evanescence !!







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